Zawaj Sounnah signalement de profil

Signalement de profil : Quand la sœur accuse… après avoir participé

« Supprimez ce frère de la plateforme, il a osé venir me parler en privé ! » Ce genre de message, nous en recevons parfois. Des paroles chargées d’émotion, envoyées par des sœurs bouleversées après une mouqabala qui a mal tourné. Lorsque le signalement est fondé, notre équipe agit sans délai. Mais il arrive aussi que, derrière l’indignation, se cache une autre réalité : la sœur a elle-même contribué à l’échange fautif qu’elle dénonce. Le scénario est souvent le même. Deux prétendants échangent dans le cadre sécurisé de notre plateforme, sans mixité. La sœur transmet le numéro de son mahram pour organiser une mouqabala, comme prévu. Mais au lieu d’utiliser un outil neutre, comme Zoom, ils passent par WhatsApp. Les numéros personnels apparaissent. Et c’est là que les limites s’effacent. 

Le frère initie un message en privé, prétextant sa timidité face au mahram. La sœur répond. Une conversation parallèle s’ouvre. On échange plus librement. Des détails personnels circulent. La relation prend un tour intime, loin du cadre que nous avons mis en place pour protéger les cœurs et préserver la pudeur. Puis, quand le frère met un terme à l’échange ou exprime un désintérêt, la sœur revient, blessée, frustrée… et accuse. Le mal qu’elle dénonce est peut-être réel. Mais il n’est pas unilatéral. Aujourd’hui, Zawaj Sounnah adresse un rappel sincère à ces adhérentes : Le signalement n’est pas une revanche. C’est un acte juste, réfléchi, motivé par le seul amour de la vérité.

Signalement de profil : tout a commencé par un “salem”...

Signalement de profil : tout a commencé par un “salem”...

Elle s’appelle Aïcha. Célibataire, sérieuse, pudique. Elle s’inscrit sur une plateforme de rencontre légiférée avec l’intention sincère de trouver un prétendant sans tomber dans la mixité. Un frère manifeste son intérêt. Les premiers échanges se passent bien. Aïcha transmet le numéro de son mahram, comme le prévoit la procédure. Un groupe WhatsApp est ouvert. Tout est prêt pour organiser une mouqabala en visio. Mais voilà :

“Salem oukhty, j’espère que tu vas bien. J’avais une ou deux questions à te poser, mais j’étais gêné devant ton mahram.”

Le message vient en privé. En dehors du groupe. Sur son numéro personnel. Aïcha hésite. Puis elle répond, brièvement d’abord… puis plus longuement. Le frère se montre respectueux. Il semble sérieux. La conversation s’installe. Les sujets deviennent plus personnels. Le ton devient plus fluide. Plus léger. Mais un jour, sans prévenir, le frère met un terme à l’échange. Il explique qu’il n’est “pas convaincu”, qu’il “ne ressent pas d’affinités. Blessée, Aïcha nous contacte immédiatement. Elle envoie des captures. Elle demande que le frère soit exclu via un signalement de profil. Selon elle, il a “brisé les règles. Mais à la lecture complète des échanges, une chose devient évidente : elle a elle-même consenti à cette sortie de cadre. Rien n’a été imposé. Elle a répondu. Elle a partagé. Elle a participé. Et pour Zawaj Sounnah, la conclusion est sans équivoque… 

Zawaj Sounnah signalement de profil discussion

Signalement de profil : une faute partagée reste une faute

Signalement de profil : une faute partagée reste une faute

Deux fautes, deux responsabilités : c’est la ligne que nous appliquons. Lorsque le cadre est transgressé, les deux profils sont exclus, sans distinction. Car notre cadre n’est pas une simple formalité : c’est une protection. Et dès l’instant où il est contourné, chaque transgresseur doit assumer sa part de responsabilité. Lorsqu’une sœur accepte un message en privé, y répond, poursuit la discussion, puis s’investit émotionnellement… elle ne peut plus se présenter comme une simple victime. Même si le frère a initié l’écart, car la participation active change la nature de l’échange.

Ce que beaucoup oublient, c’est que la responsabilité religieuse ne repose pas uniquement sur celui qui “a commencé”, mais aussi sur celui ou celle qui a consenti. Chez Zawaj Sounnah, nous ne spéculons pas sur les intentions. Nous nous appuyons sur les faits. Et lorsqu’un signalement de profil nous parvient, nous lisons tout. Car bien souvent, ce qui est présenté comme une faute unilatérale… est en réalité un accord mutuel, mais hors cadre.

Zawaj Sounnah accusation et signalement de profil

Signalement de profil : une justice fondée sur les faits, pas sur l’émotion

Signalement de profil : une justice fondée sur les faits, pas sur l’émotion

Recevoir un signalement de profil, c’est une chose. Le traiter avec équité, en est une autre. Chez Zawaj Sounnah, nous avons fait le choix de ne pas juger sur la base d’un seul message ou d’un récit unilatéral. Une accusation ne vaut pas condamnation. Notre équipe examine chaque signalement de profil avec sérieux, recul et transparence. Nous lisons l’intégralité des échanges. Nous cherchons à comprendre :

  • Qui a écrit ?
  • Qui a répondu ?
  • Avec quel ton ?
  • Quelles sont les intentions visibles ?

Notre devoir est alors clair : préserver l’équité, même lorsqu’elle bouscule les sensibilités. Nous ne protégeons pas les émotions, mais la vérité. Et cela commence par refuser de faire du signalement de profil un instrument d’accusation à sens unique. Notre projet est une amanah (un dépôt) que nous nous devons de préserver. Et nous la protégerons avec ferveur, équité et lucidité. Pas au rythme des cœurs blessés, mais à la lumière des faits.

Signalement de profil zawaj sounnah

Zawaj Sounnah : une plateforme pour les cœurs sincères

Zawaj Sounnah : une plateforme pour les cœurs sincères

Zawaj Sounnah n’est pas une vitrine de profils, encore moins un marché du mariage ou un réseau social déguisé. C’est avant tout un cadre protégé, pensé pour préserver la pudeur, l’éthique et la sincérité. Une amanah. Une responsabilité que nous portons avec sérieux et fermeté. Contrairement à d’autres plateformes, nous ne cherchons pas à accueillir le plus grand nombre, mais à accompagner ceux et celles qui avancent avec une intention pure : se marier dans le halal, en respectant les limites fixées par Allah سبحانه و تعالى. C’est cette exigence de sincérité qui guide chaque décision que nous prenons.

Ce que nous garantissons

  • Une modération humaine, rigoureuse et bienveillante.
  • Des règles claires, appliquées avec équité.
  • Un accompagnement discret, mais présent à chaque étape.

Ce que nous refusons

  • Les curieux, les indécis, ou ceux qui cherchent à « tester ».
  • Les échanges privés hors cadre et les détours contournant les règles.
  • Les intentions troubles et les jeux d’apparence.

Plus de 850 mariages ont déjà vu le jour grâce à Zawaj Sounnah. Pas grâce à un algorithme. Mais grâce à Allah, et à l’intention sincère de ceux qui s’engagent avec sérieux. Si tu es prêt(e) à chercher avec le cœur, dans le respect des règles et la pudeur, alors sache-le : tu es au bon endroit.

Zawaj Sounnah, ce n’est pas pour tout le monde. C’est pour celles et ceux qui veulent se marier vraiment, dans le halal, avec honnêteté et foi. Inscris-toi. Commence. Et laisse Allah guider les pas vers celui ou celle qu’Il a destiné pour toi.

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À la lumière du coran et de la sounnah

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